À Pessoa qui écrit à plusieurs reprises – ce qui me fait dire que la forme du propos est murement posée : « je gis ma vie » ; Pessoa, mon frère d’âme, pour qui j’ai tant d’affection ; je voudrais répondre à travers le néant où il vit depuis qu’il a cessé de rêver, que moi, j’aurais tenté toute ma vie, désespérément, de ne point la gésir. Péché d’orgueil, assurément, et vaine vanité.